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Je viens de publier un billet sur mon blog de teintures, pour le prélavage des écheveaux (je sais, toutes ne le font pas, mais s'il reste de la graisse de filature ou autre, c'est elle qui prend la teinture et ça se barre après, aux lavages).
Bref.
Depuis peu, je lave mes écheveaux en machine, emballés serrés dans des petit bas nylon achetés dans un magasin bas prix.
Coton et laine passent avec une de mes machines du week end, selon le programme.
Quelqu'un d'autre a de l'expérience? Des trucs et astuces? Que je pourrais rajouter dans le billet que voici que voilà: https://aufildelautre.fr/SD/250113laver ... ml#machine
ciao et merci!
taty
Dernière modification par taty (20-01-2025 13:00:29)
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Salut Taty,
Je lave tout : écheveaux, chaussettes, pulls, gants, en machine. Soit au programme laine, à froid, soit au programme normal à 30 degrés selon les produits. Je ne m'embête pas à mettre dans des taies, des sacs ou filets.
Mon expérience concerne 1) le mélange ''Coccinelles'' 50% Texel-50% Est à laine mérinos 2) les pulls pure laine type Ardelaine, Laines du Forez, etc.
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le lave toutes les laines et les lainages à la main
je prépare de l'eau froide ou à peine tiède (dans laquelle je met ma préparation à base de savon de marseille) dans une bassine
recette pour 2 litres de lessive
60 gr de savon de marseille rapé soit 4 cuillères à soupe
3 cuillères à café de bicarbonate
3 cuillères à café de cristaux de soude
je dilue dans de l'eau chaude
je mets la laine ou les lainages dans la bassine sans trop remuer (j'ai peur que la laine feutre si je remue trop)
j'utilise cette préparation pour toutes mes lessives à la machine
je met un petit godet par machine soit 125 ml
avec le savon de marseille il est inutile de rajouter de l'assouplissant
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Ygaelle, quelle machine as-tu? J'ai, par hasard (mégarde), laissé un écheveau dans un tas de laines à laver machine, il est sorti comme ça:
Il était pourtant attaché en 4 points, comme d'hab'
Je suis curieuse de ton procédé, merci!
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Daniela, j'oserais pas les cristaux de soude ni le bic pour ma part. Pourtant je fais tout en ménage avec. Même laver en machine des lainages vierges programme laine mais avec de la lessive bio: il paraît qu'avec le temps, les protéines de la laine sont "mangées" (mythe?)
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je vais acheter mes pains de 2 kilos de savon de marseille directement à l'usine depuis des années
https://savon-de-marseille.com/collecti … -marseille
c'est eux qui m'ont donné la recette que j'utilise
je n'ai jamais eu de problèmes de protéines de laine mangées
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A tous: votre avis sur le savon pour laine ? voir msgs ci-dessus, dont celui de Daniela
merci!
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Mon avis : le savon noir (à la potasse) est moins agressif pour la laine et les fibres animales (et nos cheveux !) que le savon de soude (savon de marseille par exemple). Il laisse la laine plus souple, et d'ailleurs il a longtemps été utilisé en industrie textile pour laver les toisons.
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sandrine ta réponse m a fait me poser des questions sur les qualités du savon de marseille
d'autant que m'en sers pour tout et même pour me laver les dents
je n'utilise que le savon à l'huile d'olive et le dermato l'a recommandé pour l'eczéma
voilà ce que j'ai trouvé
Guide complet du véritable savon de Marseille
Le savon de Marseille est un produit traditionnellement fabriqué dans la région de Marseille, en France. Il est renommé pour sa composition naturelle et ses multiples usages. Généralement disponible sous forme solide, il est obtenu par saponification d'huiles végétales. Découvrez dans ce guide exhaustif, tout ce que vous devez savoir sur ce produit v, utilisé depuis des générations et venu tout droit de Provence.
L'histoire du savon de Marseille
Une histoire de plus de 700 ans
L'histoire du savon de Marseille est un fascinant mariage entre tradition et évolution. Son origine remonte à l'Antiquité, où l'utilisation du savon en France était déjà documentée. Les Gaulois, selon les écrits de l'encyclopédiste Romain Pline, utilisaient un produit à base de suif et de cendres pour teindre leurs cheveux en roux, servant ainsi de gel capillaire et décolorant.
Un descendant du savon d’Alep
Le véritable précurseur du savon de Marseille trouve son essence dans le savon d'Alep en Syrie, existant depuis des millénaires. Son mode de fabrication, à partir d'huile d'olive et de laurier, s'est répandu dans le bassin méditerranéen grâce aux Croisades, passant par l'Italie et l'Espagne avant d'atteindre Marseille.
Dès le XIIe siècle, la cité phocéenne abritait des manufactures de savon, utilisant l'huile d'olive extraite des terres de Provence les plus proches. La soude, issue des cendres des plantes salines, était également utilisée. En 1371, Crescas Davin devient le premier savonnier marseillais à utiliser la soude. En 1593, Georges Prunemoyr fonde la première fabrique marseillaise, marquant le passage de l'artisanat à l'industrie.
Au XVIIe siècle, la demande croissante des savons marseillais dépasse les capacités de production locales. Le port reçoit même des savons de Gênes et d'Alicante. Toutefois, la guerre interrompt ces importations, obligeant les savonniers marseillais à augmenter leur production pour approvisionner l'Europe occidentale, en particulier l'Allemagne.
En 1660, Marseille comptait déjà sept fabriques produisant près de 20 000 tonnes par an. Sous Louis XIV, la qualité des savons était telle que "le savon de Marseille" est devenu un terme courant. La réglementation de fabrication, édictée par Louis XIV en 1688, garantit la qualité du savon en utilisant uniquement de l'huile d'olive pure, écartant tout autre ajout.
L’ajout de nouvelles matières premières
Au fil des années, de nouvelles matières premières, telles que les huiles de palme, d'arachide, de coco et de sésame, sont importées et utilisées pour la fabrication. L'industrie du savon à Marseille connaît des hauts et des bas, affrontant la concurrence des savonneries étrangères et subissant les perturbations liées aux guerres.
Bien que l'essor de l'industrie chimique ait apporté des changements, certaines savonneries traditionnelles perdurent, produisant encore le fameux cube de 600 grammes, symbole du savon de Marseille authentique. Aujourd'hui, l'histoire riche de ce savon résonne encore à travers les traditions et les savoir-faire qui lui sont propres
Importance culturelle et symbolique
Le savon de Marseille devient rapidement un pilier culturel et un symbole de la ville qui l'a vu naître. Au cœur de cette métropole portuaire historique, le savon s'est ancré dans la société marseillaise et au-delà. Il incarne une histoire riche qui s'étend sur des siècles et reflète la tradition et la qualité qui font la renommée de Marseille.Il évoque aujourd’hui une époque où les artisans locaux travaillaient en harmonie avec les ressources naturelles abondantes de la région pour créer un produit qui a résisté à l'épreuve du temps. C'est une véritable expression de l'art du savoir-faire, transmis de génération en génération.
Il est également un ambassadeur culturel de la région. Il est souvent offert en guise de cadeau ou de souvenir pour partager un morceau de cette ville méditerranéenne avec le reste du monde.
Rôle économique
Tout au long de son histoire, le savon de Marseille a joué un rôle vital dans l'économie de la région, offrant des emplois et générant des revenus. Les savonneries, des petites entreprises familiales aux grandes manufactures, ont été des moteurs économiques locaux, fournissant du travail à des artisans talentueux et créant une chaîne d'approvisionnement qui s'étend bien au-delà de la ville.
Sa réputation rapidement traversé les frontières, ce qui a conduit à son exportation vers d'autres régions et pays. Dans les temps modernes, le savon de Marseille continue de jouer un rôle économique essentiel en attirant des touristes curieux de découvrir l'histoire de cette icône. Les visites des savonneries, les ateliers de fabrication et les produits dérivés liés au savon sont devenus des attractions touristiques populaires, créant ainsi des opportunités d'emploi et de revenus dans le secteur du tourisme.
Composition du savon de Marseille
"Guide complet Savon de Marseille - Nicole Bernard
3 ingrédients principaux
La composition du véritable savon de Marseille repose sur trois ingrédients clés, chacun jouant un rôle dans le processus de fabrication et les vertus s du savon :
Huiles végétales : Les huiles végétales utilisées dans le savon de Marseille sont principalement l'huile d'olive, l'huile de coprah (issue de la noix de coco) et plus récemment l'huile de palme. L'huile d'olive, riche en acides gras essentiels, apporte à la fois une douceur et une hydratation à la peau. L'huile de coprah est appréciée pour sa capacité à produire une mousse abondante et onctueuse, tandis que l'huile de palme confère au savon sa dureté et sa stabilité.
Soude (hydroxyde de sodium) : La soude, également connue sous le nom d'hydroxyde de sodium, joue un rôle central dans le processus de saponification. Cette réaction chimique complexe entre la soude et les huiles végétales transforme ces dernières en savon solide. Cependant, il est important de noter que dans le savon final, la soude est complètement transformée et ne reste pas sous forme libre, ce qui en fait un produit sûr pour l'utilisation sur la peau.
Eau : L'eau est le catalyseur qui met en mouvement la réaction de saponification. Elle permet le mélange des huiles végétales et de la soude, amorçant ainsi le processus de transformation en savon. Une fois la réaction terminée, l'eau n'est plus présente dans le produit fini, car elle a joué son rôle dans la réaction chimique.
L'interaction entre ces trois éléments - huiles végétales, soude et eau - est ce qui donne naissance au savon de Marseille. La réaction de saponification transforme les huiles en savon solide, tout en préservant la glycérine naturelle, ce qui contribue aux propriétés hydratantes du produit final."
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Je n'ai jamais compris pourquoi on recommande le savon de Marseille ou d'Alep pour l'eczéma. Je suis moi-même sujette à l'eczéma et ayant une peau sèche, le savon à la soude recuit méthode Alep ou Marseille, ne me conviennent absolument pas, rougeurs, crevasses et démangeaisons assurées. Seul les savons saponifiés à froid ou mieux, les savons noirs, me conviennent.
Quand j'ai testé le savon noir à l'huile d'olive (savon de potasse donc, et pas de soude), ce fut le jour et la nuit.
Après dans mes lectures sur le savon de soude vs potasse, j'ai souvent lu que la potasse avait plus d'affinité avec la kératine (cheveux, laine) que la soude c'est pourquoi on a beaucoup lavé les toisons avec du savon noir par le passé. J'avais écrit un post sur ce sujet : http://blog.tricofolk.info/2015/09/21/du-savon/
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taty a écrit:
Depuis peu, je lave mes écheveaux en machine, emballés serrés dans des petit bas nylon achetés dans un magasin bas prix.
Coton et laine passent avec une de mes machines du week end, selon le programme.
Quelqu'un d'autre a de l'expérience? Des trucs et astuces?
ciao et merci!
taty
Je ne lave plus de laine en machine ; j'ai eu de mauvaises expériences de feutrage même avec un pantalon en tissu 50%laine et 50% synthétique.
Dans une maison de plain-pied, l'eau arrive directement de l'extérieur de la maison et elle est très froide en hiver. Cela fait un choc thermique lors du rinçage qui me semble être la cause du feutrage.
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taty a écrit:
Ygaelle, quelle machine as-tu? J'ai, par hasard (mégarde), laissé un écheveau dans un tas de laines à laver machine, il est sorti comme ça:
https://aufildelautre.fr/SD/2023/A/sema … 0(1)36.jpg
Il était pourtant attaché en 4 points, comme d'hab'
Je suis curieuse de ton procédé, merci!
Taty : je les attache en 3 points (2 de plus que la filature) un peu serrés mais pas trop puisque ce sont aussi mes liens de teinture. Et, oui, parfois, ils sont emmêlés, surtout les fils fins. Mais je mets mes bras dedans et je les écarte pour claquer/tendre l'écheveau (j'sais pas si c'est très clair par écrit), et les fils se remettent assez bien. Sauf l'une ou l'autre exception. Et je fais sécher pendus, la gravité les aidant à se retendre.
Cela dit, les centaines de kilos d'écheveaux que j'ai passés en machine ont "seulement" reçu un rinçage et essorage (maximal ;-)). Je lave rarement les écheveaux au programme complet. Mais je crois que le rinçage du programme classique emmêle encore plus que le lavage-rinçage du programme laine.
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Chantal a écrit:
Je ne lave plus de laine en machine ; j'ai eu de mauvaises expériences de feutrage même avec un pantalon en tissu 50%laine et 50% synthétique.
Dans une maison de plain-pied, l'eau arrive directement de l'extérieur de la maison et elle est très froide en hiver. Cela fait un choc thermique lors du rinçage qui me semble être la cause du feutrage.
Chantal, oui, l'eau froide donne un choc thermique qui favorise le feutrage. C'est pour ça que je fais toujours le lavage laine à froid -> l'eau du lavage et du rinçage sont à la même température. Mais je sais que certaines machines ne descendent pas en dessous de 30 degrés, ce qui est bien dommage
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taty a écrit:
A tous: votre avis sur le savon pour laine ? voir msgs ci-dessus, dont celui de Daniela
merci!
Je n'utilise pas de savon vraiment spécifique pour la laine...
Donc soit Ecover classique, soit savon lessive vrac de l'épicerie coopérative (Lav'vert je crois).
Avant j'utilisais le savon spécial laine d'Ecover, mais je ne le fais même plus. Autant dire que je me facilite la vie, toute lainière qu'elle soit.
Mais je mets souvent de l'adoucissant Ecover, surtout pour son parfum, parce que j'ai la croyance que ça joue un rôle d'antimite (j'ai dit croyance :-) )
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merci pour tout Ygaelle, je crois qu'on a des programmes machine différents, alors. J'ai une Bosch domestique.
Je vais essayer avec un programme encore différent, je dirai quoi, comme on dit chez nous.
Sandrine et Daniela, merci pour vos retours.
Ne pas oublier que le savon de Marseille dans une eau calcaire de distribution (ou de puits en ciment?) est inefficace, il forme des sels insolubles. Il faut une eau douce. Avant l'adoucisseur, je ne pouvais utiliser le savon de Marseille en lavage de linge. Désormais, grand luxe: adoucisseur.
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Ygaelle, j'ai rééessayé après avoir relu tes remarques. Je fais justement des tests avec des écheveaux de 10g (140 m de Venne 28/2), pas de souci si l'un est cramé. J'ai tenté:
mini éch. nr 1/ passé avec une lessive de soie en programme soie 30°C : tout feutré, j'arrive à défaire fil à fil, en écoutant un reportage mais grrr raté - j'aurais pu arrêter avant l'essorage, mais voilà.
mini éch. nr 2/ passé en programme laine avec des draps de coton pour ne pas gaspiller: ok, un peu souffert mais facile à claquer sur une table pour les ramener à l'ordre (les fils)
je fais des photos et je reviens les publier.
On doit vraiment avoir 1/ des fibres toutes différentes et 2/ une machine différente.
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Effectivement, fibres bien différentes, ou machine bien différente.
En tous cas, je viens encore de faire 2 lessives avec des pulls 100% laine de mon mari (soit Ardelaine, soit Laines du Forez, soit laine allemande, soit 2è main, soit Laine des coccinelles, un large échantillon, quoi)
Est-ce que ta machine a un programme laine "froid", donc même pas à 30° ? En hiver, il y a un gros différentiel de température entre lavage et rinçage, qui pourrait peut-être expliquer le truc si ton programme est à 30°
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Merci pour ces précisions. C'est ouverture par la face, pas par le haut comme en USA.
IL n'y a que 30°C, c'est le plus froid. Mais sur programme laine, ça va. Je n'oserais mes propres filés main (alpaga noir, chamelon, et surtout Macomérinos d'Arles; je les mélange en séquentiel pour les couleurs)
J'ai le mode d'emploi mais il n'est pas disert sur les aspects techniques. j'ai déduit que l'essorage était plus radical en soie qu'en laine, je n'en sais pas plus.
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Ma fille m'a récemment demandé conseil pour l'achat de sa première machine à laver neuve. Et j'ai dit "essorage puissant" et "programme laine à froid". J'espère qu'elle a trouvé.
30 degrés, en hiver, c'est déjà fort chaud. Tu pourrais peutêtre refaire le test en été ?
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Ygaelle, j'ai une autre analyse: programme soie est à 30°C, laine idem chez moi. En revanche, l'essorage et le remuage diffèrent. Je pense plus que c'est du à ces derniers facteurs, puisqu'en programme laine pas de souci, c'est en programme soie que ça feutre autant qu'en programme ordinaire 40°C coton.
depuis lors j'ai lavé encore d'autres écheveaux de laine 28/2 de chez Venne (mérinos) et de laine reçue (connais pas la source): la dernière, en programme laine, ne bouge pas d'un poil; tandis que la Venne sort sous une forme foulée, pas feutrée. Donc je dois passer 5 minutes par écheveau de Venne pour détacher les fils qui collent un peu. Ce n'est pas du feutrage, ça ressemble à ce que je fais quand je foule les tissages.
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Je ne comprends pas bien pourquoi, si ton programme laine te donne satisfaction pour laver de la laine, tu utilises ton programme soir ??
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Ygaelle, de multiples raisons. C'était un test primo pour comprendre la machine (le mode d'emploi n'est pas très bavard). Secundo, je lave peu en laine (j'aère plutôt, on a tout en laine vierge ici),je lave plus souvent en soie (je voudrais éviter de lancer une machine pour 3 écheveaux) . Et tertio, je teste le dosage de feutrage, car je cherche aussi comment feutrer sans tout le bastringue manuel, mais en gardant une forme de souplesse. Feutrer en machine programme coton: ça le fait, mais ça rétrécit au max' et ça devient du carton.
Jusqu'ici, comme je feutre des tissus de laine que j'ai tissés mais qui sont trop mous; tissus que je couperai ensuite, je les feutre au séchoir, préalablement mouillés. Cela me donne un effet plus souple. Je n'ai pas besoin de respecter des formes particulières, donc le séchoir me convient.
Dernière modification par taty (Hier 07:02:08)
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Ok ! Je n'avais pas du tout capté que ton objectif était davantage de feutrer que de ne pas feutrer.
Quand je veux +- foulonner, en particulier les gants-mitaines-chaussettes-mouffles avant la vente, je lave en cycle normal à 30° et j'essore au max à 1400 tours/minutes (quand ça arrive de chez le tricoteur, c'est tout raide et trop grand)
Mais j'ai un mélange de laine pas très sensible au feutrage. Je ne pourrais pas le faire avec d'autres laines. Par exemple, pour me feutrer des moufles (taille homme -> taille femme) qui sont absolument géniales pour faire du vélo en hiver, j'ai du laver à 95°
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