Cardage, teinture et filage de la laine - Fil RSS
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Coucou à toutes,
Laurence, je viens de voir la photo du charka dans la galerie ainsi que ta jolie "bobine". En fait, c'est un rouet ?, j'en ai vu sur des sites américains mais ils avaient des pédales, celui-là non !
Comment arrives tu à bobiner avec une main et à préparer ta fibre avec l'autre, on ne peut filer que des rubans super bien préparés au filage !
Merci de tes éclaircissements !
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Ah oui heu-reuse, ça se voit Laurence ! Merci pour la photo
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Oui tu as l'air bien contente, Laurence
Je connaissais les rouets Babe, mais un charka fait comme ça, c'est la première fois que j'en vois un. Space! Tu nous en donnera des nouvelles.
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ha oui, space! coucou Laurence!
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bonjour !
salut, Laurence !!! Oui ! tu es superbe de bonheur !!!
Tu as raison, Carine c'est le principe du fuseau. J'ai vu une démonstration au musée du textile de Lavelanet, par un "petit vieux" (90 ans, je crois) ! c'est super. Dans un, premier temps, la rotation de l'aiguille torsade les fibres, qui sont placées dans son axe, puis on décale le fil afin qu'il soit perpendiculaire à l'aiguille, et il s'enroule sur la tige ! Le gars filait ainsi pas loin de 2 m avant de les enrouler.
Et puis, on a tous vu ces photos de Ghandi, filant le coton !!!
Laurence-Ghandi !!!
bonne nuit...
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C'est super chouette de te voir!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il y a du coton dans l'air!!!!!!!!!!!!
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Oui, c'est une version moderne du charka de Ghandi. C'est sûr Paul, c'est un vieux rêve d'emboiter un peu les pas de Ghandi... Le charka c'est une belle idée de Thérese (qui ne s'est pas encore montrée sur le forum) lors de ces voyage elle arencontré des femmes africaines qui filent le coton au fuseau... mais découvrez donc la suite sur son blog :
Jump Sheep
J'essaie de traduire :
"Ceci est la tenue traditionnelle des Ethiopienne . C'est une gaze est tissée à partir de coton filé au fuseau.
Voici une femme Ethiopienne en train de filer le coton au fuseau. Ce n'est rien de plus qu'une pique à brochette, le disque est fait avec du carton lourd et une agrafe pour stocker le fil.
Et quand elle a besoin de poser le fuseau pour aérer le coton afiler, elle le pose derrière l'oreille. C'est un procédé charmant jusqu'à ce qu'on songe aux réalités de la vie Africaine : il faut filer pour survivre.
Les 5 dernières années, j'ai eu le privilège de voyager en Afrique pour la lutte contre le SIDA. J'ai rencontré des gens qui devaient soutenir les programmes à partir de leurs propres ressources comme vendre des produit manufacturés.
En tant que fileuse, j'ai essayé aussi de faire des fils avec un fuseau. Ils étaient assez longs pour tricoter un échantillon. j'ai accroché puis avec le temps j'ai acheté mon premier rouet. A côté du fuseau, ça galopait."
je continue demain, il est tard
Dernière modification par Laurence (20-06-2006 23:28:03)
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merci Laurence, c'est vrai que nous on "joue", d'autre luttent avec les même "armes"...
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