Cardage, teinture et filage de la laine - Fil RSS
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oui à y regarder de plus près il n'y a pas vraiment de gêne... mais le côté bombé doit creuser son trou dans le cuir à l'usage En fait je ne m'étais pas posé la question au départ, habituée sur les autres rouets à placer la gorge la plus petite à l'arrière, donc dans le bon sens pour Kromski.
Kty pour le Nilus je ne sais pas, je pense que j'ai agit pareil au départ, et puis il a la particularité - tout comme le CC - de se visser à l'endroit : la tige a un pas-de-vis indépendant séparé de la tige par un taquet d'arrêt dans le métal; à l'inverse de la plupart des épingliers anciens ou traditionnels, dont la tige est directement filetée sur une partie et sur laquelle la bobine se visse dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Dernière modification par Evita (03-11-2013 17:55:28)
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En passant, je viens de découvrir sur mes rouets anciens qu'il n'est pas nécessaire que la poulie d'épinglier soit solidaire de l'épinglier.
Je me demande pourquoi tous les constructeurs modernes trouvent des stratagèmes pour la rendre dépendante de l'épinglier (pas de vis inversé pour que ça ne se dévisse pas au filage, ou section carrée) puisque c'est inutile ?
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????? comment est-ce qu'il est entraîné, alors, l'épinglier ?
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De la même manière qu'un rouet à tension écossaise comme les Louët : c'est le fil qui entraîne l'épinglier.
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kty chien a écrit:
Je viens de regarder la notice, on voit bien la poulie sur les photos.
Je pense que ca n'est pas une question de place, c'est qu'a la longue à les monter ainsi, la poulie s'écrase testé vérifié
Merci d'avoir vérifié.... je vais la laisser dans le bon sens
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Ah bon ! j'ai un double entrainement, c'est donc différent ( et plus complexe à fabriquer ?)
et les tensions irlandaises, comment ça se passe ?
Et quel système est le plus ancien ?
Dernière modification par arcolan (04-11-2013 08:37:54)
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Non justement c'est pas plus complexe à fabriquer le double-entraînement, si on considère qu'il n'est pas nécessaire que la poulie soit solidaire de l'épinglier.
Dans le simple-entraînement tension écossaise, la bobine est entraînée, et l'épinglier ralenti, sans fil en cours de filage, l'épinglier ne tourne pas, il se met à tourner lorsque le fil l'entraîne. Et bien pour le double-entraînement c'est exactement ce qu'il se passe lorsque la poulie n'est pas solidaire de l'épinglier. Au final, c'est assez logique.
Je ne sais pas quel système est le plus ancien, j'ai des rouets qui ont environ 100 ans et qui sont en double entraînement.
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ah ah ! mais alors à quoi sert la poulie de l'épinglier, lorsqu'elle n'est pas solidaire de la tige ? normalement, elle règle la vitesse d'entraînement en fonction de son diamètre. Si cette poulie tourne à vide, à quoi sert-elle ? Il y a un truc qui m'échappe !
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Non elle ne tourne pas à vide, puisqu'elle est entraînée, comme la bobine. Par contre il est fort possible que le ratio soit différent d'une poulie vissée à l'épinglier, c'est à creuser.
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Evita a écrit:
Kty pour le Nilus je ne sais pas, .
J'ai vérifié on ne peut la mettre que d'une seule façon ouf
Coté plat contre bibine
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c'est très intrigant ce que tu expliques Sandrine. On peut imaginer certains problèmes de ratio flottant, de dérapage etc. qui auraient poussé les fabricants au fil du temps à rendre la poulie solidaire de l'axe... Sinon ils ne seraient pas embêtés à le faire je suppose.
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Je pense aussi Evita, qu'il y a une raison à tout cela. Oui dérapage je pense qu'il doit y en avoir, bon la poulie est enfoncée contre l'épinglier mais elle n'est pas solidaire, donc ils ne tournent pas à la même vitesse.
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